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 jmjh ❞ nuit sombre.

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Jade M-J Hellington
«Jade M-J Hellington»


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Date d'inscription : 12/11/2013

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MessageSujet: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. EmptyMar 12 Nov - 8:37


Jade M-J Hellington
20 ∞ New Orléans ∞ Pauvre ∞ Escorte girl ∞ Célibataire ∞ All be myself ∞ Emily Browning
« citation - parole de musique »


✖ My Story ✖
C’était une de ses journées pluvieuses de Chicago. Tu sais, tu le sens dans l’air quand il va arriver quelque chose. Une tuile qui te tombe dessus et tu en ressors avec le cerveau en vrac. Tu sais pas pourquoi tu t’es réveillé en sursaut cette nuit-là mais tu sens au plus profond de tes trippes qu’un drame que quelque chose va se produire. Tu seras impuissant, les bras ballants en te demandant pourquoi t’étais là à cet instant. Tu passes la journée complète à t’en faire pour un truc inutile et inexistant, mais pourtant c’est là. Ca te sert l’estomac, ça te donne envie de gerber. Comme Mr tout le monde, tu quittes ton boulot et tu rentres chez toi. Tu prends le métro, tu rencontres des gens insignifiants et tu reproduis ta routine ennuyeuse. Mais c’est ta vie. Tu le fais chaque jour à fond, parce que malgré la merde qui t’entoure, t’aimes ton enfer. Il est vingt heures et t’es pas fatigué. T’aimerais juste aller boire une bière, pour te sortir de tes habitudes. Pour rencontrer quelqu’un, pour discuter et parler d’autres choses que ton boulot de merde. Tu rentres dans le premier bar, tu commandes une bière puis deux et finalement, tu décides de prendre un alcool plus fort. De toute façon, t’as rien qui t’attend chez toi mis à part ce chat que t’a retrouvé près d’une poubelle. Tu bois, tu passes le temps, tu dragues et tu te prends un vent. Mais tu rigoles, tu apprécies cet instant délectable. Tu relèves la tête et tu te rends compte qu’il est déjà minuit passé. Tu soupires, tu remets ta veste et tu sors du bar. Et là, tu repenses à ce rêve, à ce sursaut dans la nuit. Tu l’avais oublié durant quelques heures, mais à peine tu sens l’odeur du béton humide, que tu sens des gouttes te mouiller le visage, tu y repenses. Tu marches, tu sais pas où tu vas mais tu es guidé par tes pensées. Et là, tu entends un cri. T’es tout seul dans le coin, tu fronces des sourcils et tu penses qu’il s’agit d’une embuscade. Tu as peur, pour toi parce que tu peux crever sur le bitume sans inquiéter personne. Mais aussi pour cette fille qui crie, qui hurle sa douleur et qui demande de l’aide. Tu passes tes mains sur ton visage, tu hésites. Tu fais deux pas en avant et tu recules. Et finalement, lorsque le silence répond à tes hésitations, tu fonces. Ton cœur s’accélère, tu as peur de ce que tu vas découvrir. Tu imagines le pire, une femme nue qui vient d’être violée et tabassée. Mais tu es loin, beaucoup trop loin de la vérité. Cette femme, elle hurlait de douleur oui, elle hurlait à s’en déchirer les cordes vocales. Mais pas par des coups, non pas des coups physiques, mais parce qu’une chose, un enfant sortait de son ventre. Elle accouchait. Elle accouchait au beau milieu de la crasse, dans cette ruelle sombre et abandonnée, sans aucun soutien. Sans aide, sans repaire. C’était une gamine, une enfant encore. Droguée jusqu'à la moelle, mais une enfant. Cette gamine était paumée, jetée à la porte par ses parents quand ils avaient su, quand elle n’avait pu plus cacher sa grossesse. Elle avait erré, elle avait traîné pour survivre. Et elle s’était retrouvée ici, perdant les eaux. Elle l’avait aimé son gamin, son erreur. Il n’était pas voulu le môme, mais elle l’avait aimé. Elle avait caressé son ventre rond, elle avait frissonné de bonheur en sentant ses coups. Et elle avait pleuré dans cette ruelle, de douleur, de peur. Personne pour l’aider, pour prendre soin du môme. Elle ne voulait pas le perdre. Trop sale, pas assez nourrie, la gamine n’allait pas survivre. Et son bébé. Son bébé allait rester là, dans ses bras. Il allait hurler de faim, il allait hurler jusqu’à ce qu’il meurt lui aussi. Un tableau tragique, mais hey, y’en a souvent. C’est pas la seule à qui ça arrive. Ouais, y’en a d’autres qui vivent comme ça et tu peux rien faire. Sauf si toi, t’es là à marcher en direction de cette ruelle. Appréhendant une scène d’horreur et finalement, c’est ton cœur qui se ressert. C’est ton ventre qui explose, tes yeux qui s’humidifient et tu cours. Tu cours parce que finalement, la scène n’est pas horrible mais tragique. Tu te baisses, tu entends les pleures du bébé et tu regardes ce visage. Tu regardes cette gamine, les yeux ouverts et les cuisses ouvertes. Tu vois dans son regard, cette dernière lueur d’espoir. Tu vois sa gorge bouger, tu espères et tu sors ton portable. Tu appelles les urgences, mais il est trop tard. Tu l’entends murmurer, tu l’entends te supplier. Tu caresses son visage, t’essayes de la calmer, de l’apaiser, mais ce qu’elle te dit te fait mal. Elle s’en va. Elle sait qu’elle va mourir. Et toi, t’es là. Tu peux rien faire, t’es impuissant et tu pleures. Tu pleures pour cette gamine que tu connais pas, mais tu as mal. La souffrance, la mort te touchent. Ce n’est qu’une enfant et toi t’es vieux, t’as quarante ans. Elle n’en a que dix-sept, ou moins, tu sais pas. Tu te dis que la vie est injuste. Tu vois sa poitrine se soulever une dernière fois et finalement, son corps devient lourd. Tu la soutenais contre toi et son poids se fait sentir. Elle est partie. Tu la reposes sur le sol, tu laisses couler des larmes et tu fermes ses yeux. Tu prends le bébé, tu le berces. Tu le recouvres d’une couverture. Tu jures « putain d’ambulance » mais même s’ils étaient venus avant, c’était trop tard. Le destin avait pris cette gamine, lui arrachant la vie. Tu lèves les yeux au ciel et tu te dis que c’était ça. Que ce putin de ressentiment, cette peur qui t’envahissait depuis la veille, c’était ça. Tu étais destiné à être là ce soir. Tu devais être présent et sauver ce bébé. Si t’avais pas eu autant d’appréhension en l’entendant hurler, tu aurais pu la sauver. Tu te flagelles mentalement, tu te dégoûtes et puis tu regardes le bébé dans tes bras. Une vie pour une vie. Finalement, tu fermes les yeux et ressert le bambin contre toi.

Les années passent, tu t’sens bien. T’es devenu un paternel. Toi qui a détesté le tien parce qu’il frappait ta mère, t’en deviens un. Par obligation, ouais, mais aussi parce que c’est un choix. Tu la voulais cette gamine. Pourquoi, parce que t’étais là pour son premier souffle. Parce que t’as vu sa mère s’éteindre. Parce que t’es liée à elle et que tu veux la voir grandir. Tu veux la voir s’épanouir dans la lumière et pas la retrouver vingt ans plus tard, à crever dans une ruelle. Une hémorragie interne, c’est tout ce que t’as su sur l’adolescente. Tu t’es battu, tu voulais avoir la garde, tu voulais l’adopter. Et finalement, tu l’as eu. Tu as dû déménager, tu as trouvé un deuxième emploi pour payer les couches. Mais t’es heureux. T’as ce putain de sourire sur le visage. T’es heureux parce qu’elle rigole, parce qu’elle sourit. Tu pourrais lui payer le bon dieu pour son regard noisette, tu pourrais décrocher la lune pour un seul de ses rires. Tu l’aimes, tu l’aimes au point d’en clamser. Tu sers les dents lorsqu’elle arrive vers toi, quand elle pose sa petite main et qu’elle te demande de sa voix fluette « elle est où maman ? ». Là tu te sens con, tu sais pas quoi dire, ni quoi faire. Alors tu souris et tu ne dis rien. La gamine oublie, elle recommence plus tard et tu recommences. Tu la protèges de ça, tu veux pas qu’elle sache. Alors lorsqu’un soir elle rentre en pleurant, qu’elle veut savoir la vérité, tu mens. Tu mens et t’inventes une connerie. Tu parles de ta propre femme, tu dis qu’elle est morte d’un accident. Tu mens et la gamine avale tes paroles. Elle te croit, et tu te détestes pour ça. Mais tu continues à le faire. De toute façon, c’est trop tard pour faire marche arrière. Et maintenant qu’elle a eu ses réponses, la gamine t’harcèle plus. Elle te laisse en paix et là, tu pries. Tu pries pour qu’un jour, elle te pardonne tes mensonges. Tu pries pour qu’elle continue de t’aimer et de te voir en héros. Parce que toute sa vie n’est que mensonge. La gamine croit que tu es un héros, que tu travailles dans une entreprise pour faire le bien. Elle t’idolâtre alors que tu récures des chiottes. T’es que le concierge, tu te casses le dos chaque jour pour remplir sa gamelle. Et puis, tu te tues la santé en prenant un deuxième boulot encore plus cradingue que le premier. Mais tu l’assumes, tu veux la rendre heureuse et elle l’est. Alors tu t’en contentes. Même si un jour, tu sais que tout ça, ça va te péter à la gueule. Elle te croit invincible, elle te croit immortel et bordel qu’elle a tort. Parce que t’es mortel ouais, t’as même carrément un pied dans la tombe. Elle a douze ans, t’en a plus de cinquante et c’est la fin. T’avais des rêves, des illusions et tu t’effondres sur le sol que tu viens de laver. T’as eu une douleur au bras puis au cœur. C’est trop tard. T’étais tout seul à ton poste, y’avait pas un chat autour de toi. T’es là, suffoquant sur le sol et voyant le visage de ta gamine devant toi. Puis elle disparait peu à peu en même temps que ton cœur qui s’arrête. Tu meurs sans avoir pu lui dire un mot. T’as juste son rire dans les oreilles, son sourire devant les yeux et son amour dans ton sang. Mais tu crèves. T’es plus là et tu pourras plus rien faire. C’est fini.

***
C’est étrange cette sensation. Beaucoup de personnes que je connais sont nées parce que leurs parents le voulaient. Moi, je croyais dur comme fer que, ma mère était morte d’un accident quand j’étais enfant. Que mon père travaillait dans une usine pour fabrication avec un bon poste. Je pensais que j’avais une vie sainte et en fait, j’étais loin de ça. Loin de tout. Je suis née dans une ruelle, ma mère est morte en me donnant la vie. Mon père est inconnu et j’ai été adopté. Voilà. C’est juste douze ans de ma vie qui parte en fumée, c’est juste douze ans de putain de mensonge. Pourquoi il ne m’a rien dit ? Pourquoi ? J’ai envie d’hurler mon injustice, j’ai envie de crier ma douleur. Mais je ne peux rien faire, si ce n’est laisser mes larmes couler en espérant qu’elles m’apportent la délivrance. Ma vie n’est que misère, à croire que j’aurais dû crever dans cette ruelle plutôt que de vivre. J’suis restée dans un orphelinat quelques jours avant d’être placée dans une famille d’accueil. Deux alcooliques qui cuvent sans arrêt, qui me prennent pour leur bonne à tout faire. Alors j’me tire, j’me barre de la maison. J’veux pas finir à remplacer sa femme, j’veux pas de cette vie de merde. Mais à chaque fois j’retourne à la case départ, j’me fais toujours chopper. J’en ai tellement marre, j’en peux plus. J’essaye même de me taillader les veines une fois. Mais rien n’y fait, rien. J’ai l’impression d’avoir les pieds dans une bouse et que j’pourrais jamais m’en défaire. J’dois apprendre à vivre avec cette odeur putride, avec ce mal incendiant. Ouais, j’vais vivre avec ça mais j’vais avoir ma méthode. J’trouve ma paix dans la drogue. C’est une putain de sensation de bonheur. J’commence léger, tu sais avec l’herbe mais j’passe bientôt à l’étape supérieure. Bientôt c’est mes narines qui aspirent la poudre. Mais c’est jamais assez. Non, jamais ! Alors j’passe à la seringue. Putain les voyages sont mortels. À tel point que j’peux plus m’en défaire. J’me sens bien. J’suis loin, j’imagine des scénarios qui m’embellissent. J’ai une vie de rêve, seulement lorsque j’me pique le bras. J’me pique le bras et j’accueille la chaleur, j’accueille mon bonheur. J’me découvre une passion pour la musique, un besoin qui devient viscéral. Il m’en faut encore et toujours plus et j’finis par vouloir la provoquer moi-même cette musique. Mais mieux encore que la musique, c’est ma plume. Oh, j’veux pas me vanter mais ouais, j’écris bien. J’ai des potes qui le remarquent, qui me poussent à aller plus loin. Alors j’commence à chercher du travail. J’pourrais écarter les cuisses parce que j’suis genre comme ça mais hey, j’veux quelque chose d’autre. J’sais pas quoi mais j’veux pas de cette vie-là. C’est bizarre. C’est comme-ci faire de la musique me rendait meilleure. J’me laisse entraîner pendant plus de trois ans dans cette vie de débauche, de drogue mais de musique. Et gars, j’me sens bien. Ouais, j’ai mon propre violon, j’l’ai payé honnêtement j’te jure. Et j’écris, j’crois que j’ai jamais autant écrit de ma vie. J’parle de moi, j’parle des autres. J’parle de ma mère, de cette ruelle. J’parle de tout. J’parle de rien. Mais j’suis bien comme ça. J’galère, j’me pose dans un groupe et j’me barre. J’trouve pas d’équilibre parce que j’suis genre instable. Mais qu’est-ce que j’y peux. J’trouve pas ma place. En même temps c’pas facile, moi qui n’est aucune racine. J’ai dix-sept ans et j’suis quelqu’un. J’suis quelqu’un parce que j’ai ma musique. Sinon, j’serais rien. J’serais une pauvre gamine qui se drogue, qui couche avec n’importe qui… J’serais juste un fardeau, j’suis un fardeau mais j’me porte moi-même. Et j’assume. Ouais…  j’assume ma putain de vie.

***
Puis au final, j’me rend compte que la vie, c’est pas rose tous les jours. Qu’un moment, tu redescends sur terre et putain, la chute a été fatale dans mon cas. Arrêté à dix-huit ans pour consommation de stupéfiant et comportement abusif sur la voie public. Autrement dit, j’suis bonne pour faire un séjour en taule. Putain, j’pensais y rester un ou deux jours, mais j’ai un casier et bordel, y’a eu comme une enquête. Un an. Un an de prison ferme et six mois avec sursit. Quand tu ressors de là-dedans, t’es plus la même. T’es genre, un débris. Tu sers plus à rien et t’es encore plus dans la merde qu’avant. J’trouve le premier boulot à ma portée, escorte girl. Parce qu’à défaut d’une vie de merde, j’ai un corps attrayant, j’ai une bonne gueule. J’ai de quoi me vendre, bien que j’sois petite et en manque de forme. Mais ce n’est qu’un détail, les clients sont content. Et en prime, je baise pour pas cher. Mais ça, c’est interdit et j’tiens pas à retourner en taule. Tout est bon pour gagner son pain parce que la vie, elle est chère et j’suis plus souvent à quémander, à voler dans les maisons des riches plutôt que de claquer du blé. Oh, j’trouve toujours de quoi me remonter le moral avec quelques pilules, quelques joints que je paye en nature. Mais j’aimerais… je sais pas… peut-être réussir dans un domaine. La musique… ou l’écriture peut-être.
✖ Me, Myself & I ✖

✖ Behind the screen ✖
âge • dix-huit
prénom ou pseudo • mina
sexe • hermaphrodite, j'suis des deux sekses Shocked 
comment as tu connu le forum ? • errance suprême sur gogole
présence • souvent, j'suis un escargot pour rp
autre chose ? • j'espère me plaire ici, j'aime les petites communauté au départ, et puis c'un vieux personnage c'lui-là, genre bien poussiéreux itou itou Very Happy 

image by consolation-prizes # code by shiya.



Dernière édition par Jade M-J Hellington le Ven 15 Nov - 18:08, édité 2 fois
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Alba-Jane D. Applesbury
«Alba-Jane D. Applesbury»


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MessageSujet: Re: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. EmptyMar 12 Nov - 12:21

Owwww bienvenue sur notre bébé forum! On espère aussi que tu t'y plairas! Et j'approuve totalement l'avatar. Browning *_*
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Jade M-J Hellington
«Jade M-J Hellington»


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MessageSujet: Re: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. EmptyMar 12 Nov - 13:27

Merci beaucoup, j'aime les bébés forums What a Face 
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Michael A. Devan-Smith
«Michael A. Devan-Smith»


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MessageSujet: Re: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. EmptyMar 12 Nov - 14:03

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Very Happy
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Jade M-J Hellington
«Jade M-J Hellington»


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MessageSujet: Re: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. EmptyMar 12 Nov - 14:57

Merci beaucoup Very Happy 
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Skylar S. Jonhson
«Skylar S. Jonhson»


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MessageSujet: Re: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. EmptyMar 12 Nov - 16:48

Welcomme ma belle!!!flower  J'espère que tu vas te plaire sur notre petit bébé. cheers Si tu as la moindre question n'hésite pas à demander de l'aide aux admins. :Very Happy D 
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Jade M-J Hellington
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MessageSujet: Re: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. EmptyMer 13 Nov - 8:03

Merci beaucoup pig 
Roden I love you 
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Jade M-J Hellington
«Jade M-J Hellington»


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MessageSujet: Re: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. EmptyVen 15 Nov - 18:07

Wesh, j'ai terminé :string: 
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Alba-Jane D. Applesbury
«Alba-Jane D. Applesbury»


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MessageSujet: Re: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. EmptyVen 15 Nov - 19:17





Bienvenue à New-Orleans!

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Nous avons le plaisir de t'annoncer que ta fiche est maintenant VALIDÉE. Tu seras donc ajouté dans le groupe :
All by myself

Tu peux dès lors :

  • Recenser ton avatar ici.
  • Ouvrir ta fiche de lien ici.
  • Tu peux aussi faire une demande de logement et aller recenser ton métier ici. et ici.
  • Si tu penses avoir de la difficulté à t'intégrer, si tu as des questions et que tu souhaites que quelqu'un t'aide dans ton cheminement, tu peux faire une demande de parrain ici!



L'équipe te souhaite la bienvenue parmi nous et surtout n'oublie pas de voter une fois de temps en temps pour aider le forum ! Tu as maintenant l'autorisation d'aller t'amuser !I love you


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Jade M-J Hellington
«Jade M-J Hellington»


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MessageSujet: Re: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. EmptyVen 15 Nov - 19:20

Merci I love you
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MessageSujet: Re: jmjh ❞ nuit sombre.   jmjh ❞ nuit sombre. Empty

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